Pour la deuxième moitié de notre voyage dans les îles du Pacifique, on a dû prendre une décision difficile : trop de destinations de rêve (ouais, je sais, la vie est dure…). Finalement, c’est les Fidji qui nous ont conquis — pis honnêtement, comment ça aurait pu être autrement? Le seul hic, c’est que les Fidji, c’est pas juste une île, mais plus de 300! Planifier un voyage là -bas, c’est un peu comme essayer de faire un casse-tête les yeux bandés.
On a commencé sur l’île principale, Viti Levu, dans un bungalow sur la Coral Coast. Ça cochait toutes les cases : une piscine, un gym, une salle de jeux (où les enfants ont perfectionné leurs skills au baby-foot), plein d’espace, et accès direct à la plage. Pour vrai, on n’a pas bougé ben ben durant la première semaine. Entre un repos bien mérité pour Joey et les enfants, et le prix assez surprenant des excursions, une « retraite au bungalow » était pas mal l’option la plus relax… et la plus sage.
La plage en avant promettait du snorkeling incroyable, mais la météo en a décidé autrement. Le vent gardait l’eau trop agitée, et à marée basse, c’était beaucoup trop peu profond. J’ai essayé quand même, mais frapper du corail, c’était pas exactement l’aventure que j’avais en tête. Disons que l'expérience n'a pas duré longtemps.
Finalement, notre moment le plus mémorable au bord de la mer, c’est grâce aux sandales à Edward. À côté de la maison, y’avait un petit quai parfait pour prendre des photos au coucher du soleil. Un soir de grand vent, Teddy a réussi à échapper ses deux sandales direct dans l’océan. Elles sont parties comme si elles avaient un rendez-vous important! Devine qui a dû plonger pour aller les repêcher? Eh oui. Adieu coucher de soleil tranquille, bonjour mission de sauvetage improvisée.

Comme y’avait pas d’autres familles voyageuses dans le coin, les enfants se sont fait des amis avec le staff local. Bill, un des employés, leur a même fait faire un tour de cheval et leur a donné des petits cadeaux quand on est partis. C’est ce genre de rencontre imprévue qui rend un voyage inoubliable.



On the drive back to Nadi, we paused at a beach that looked like it belonged on a postcard: powdery white sand, gentle waves perfect for body surfing, and endless room for sandcastles. We soaked it in for hours before heading off, taking about half the beach’s sand along with us.

Of course, you can’t visit Fiji and not get out on the water. So, we booked a day cruise around the Mamanuca Islands. Imagine lounging on beanbags at the front of a catamaran, island-hopping like royalty. We stopped at a tiny sandbank in the middle of the ocean—basically a beach the size of a tennis court—and went snorkeling in crystal-clear water. Back on the boat, we discovered the joy of sliding down straight into the sea, and I gave paddleboarding a heroic attempt. For reasons still unknown, I could only spin in circles like a confused washing machine. The kids found it hilarious. Honestly, so did I. The day ended with sun, sea, and smiles—and, remarkably, we managed not to turn into lobsters. SPF 50 for the win! Fiji had already worked its magic on us.



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